Il semblerait que le développement de Scott ait largement été freiné depuis le décès de son père pompier, quand il avait 7 ans. Il en a aujourd’hui 24 et entretient le doux rêve d’ouvrir un restaurant/salon de tatouage.
Alors que sa jeune soeur Claire, sociable et bonne élève, part étudier à l’université, Scott vit toujours au crochet de sa mère infirmière, Margie, et passe le plus clair de son temps à fumer de l’herbe, à traîner avec ses potes Oscar, Igor et Richie et à coucher en cachette avec son amie d’enfance Kelsey.
Mais quand, après 17 ans de veuvage, sa mère commence à fréquenter Ray, lui aussi pompier, Scott va voir sa vie chamboulée et ses angoisses exacerbées. L’adolescent attardé qu’il est resté va enfin devoir faire face à ses responsabilités et au deuil de son père.
Une de ces comédies douces-amères où Judd Apatow excelle. Télérama
Judd Apatow s’est imposé comme un maître de l’humour américain depuis le début des années 2000. « The King of Staten Island » semble plus mûr que ses œuvres précédentes. 20 Minutes
Comme dans ses plus belles réussites, de « Freaks and Geeks » à « En cloque, mode d’emploi », Apatow nous donne le sentiment de côtoyer intimement ses personnages d’inadaptés, à peine plus névrosés que nous, mais bien plus drôles. L'Obs
Après plus de 20 ans de carrière, le roi de la comédie américaine se réinvente grâce au talent d'un nouveau petit génie comique : l'inconnu au bataillon Pete Davidson. Le Point
[...] la visée de "The King of Staten Island" est le contraire de «raconter». Il préfère s’hébéter, s’étirer, palabrer - et c’est, à tous les sens, un beau film de l’attardement. Un film d’adulte contrarié, un film d’Apatow en somme, mais puisé à son inspiration la plus noire, la meilleure, celle de "Funny People". Libération
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